~début de l'enquête~(libre)

Invité

Le soleil se levait sur Lior, tandis que j’ouvrais déjà la porte menant à l’extérieur de l’auberge. Le voyage avait été long, et les informations qui étaient tombé, semblait montrer que le prêtre, se moquait du principe de l’équivalence… Pierre philosophale en vue ? C’était fort probable.
Bref, seul au pas de la porte je m’engagea dans le rue, posant mon regard d’ambre sur les passants qui ne faisait guère attention à moi. Tant mieux, j’avais pas envi de m’énerver aujourd’hui u_u. Je remit correctement ma veste et me mis en route au milieu des rues, observant écoutant les passants. Tous avaient qu’un mot en bouche… Leto =_=… Juste un mec qui s’amuse avec l’alchimie… Les gens se font vraiment berné pour un rien, c’est ça qui fait vraiment peur en faites…
Mes pas me menèrent jusqu’au petit bar de la veille où on avait put entendre les premières émissions de notre vie… Spirituel =_=. Je m’installa tranquillement sur l’une des chaise tout en soupirant, alors que le barman venait me demander ce que je souhaitais prendre…

- Un jus d’orange, ça ira…

Fatiguais de la nuit, je posa mes bras sur le bar, avant d’y placer ma tête. Je devrais être heureux d’être loin de Mustang, mais… J’avais une salle intuition qui venais bousiller ma joie. Pourtant elle était si proche… Le barman déposa ma commande, ce qui me fit relever la tête. Je m’empara du verre, et en but une gorgée, avant de repenser à tout ça… Quel imbécile je fais pas… Si seulement je n’avais pas était mettre mon nez dans tout ça, jamais je n’aurais eu l’idée de… Et Al n’aurait jamais perdu son corps… Des cris retentirent derrière moi. étonné, je me retourna alors qu’un groupe s’agitait au coin de la rue. Je descendit de mon perchoir, prêt à m’y rendre, lorsque le barman m’interpella…

- Et la note ?
- … Ha heu… Oui…

Je fouilla ma poche et déposa un peu de money sur le comptoir avant de filer directement vers la foule. Cependant, avec ma chance légendaire, tout était déjà fini. Bon, tant pis u_u. Je doit pas avoir raté grand-chose pour que ça se passe si rapidement…
Je reprit donc ma route, repensant au discoure de la veille. Tout semblait émaner de sa bag qui arborait une petite lueur rouge… Si c’était vraiment elle, alors il fallait que je la récupère.

Ma route me mena directement en face de l’église principal, celle où il y avait eu le discoure… Toujours main dans les poches, j’observa les alentour…
Une légère brise venait soulever la poussière le rue, tandis que le soleil tapait dure déjà… Les habitants s’affairaient à leur tâche matinal. Sérieux, mes yeux se posèrent finalement sur la grand bâtisse, entourait par quelques statut de ce soit disant dieux… Tout ça me paraissait si… Étrange… Comment pouvait-on croire à ça ? C’était de l’alchimie, juste un alchimiste qui s’amuse à traîner tout le monde dans une étrange Illusion du bonheur… Mais, l’atmosphère semblait lourde, très lourde à l’égard d’Amestris… Et de l’armée. Adossait à un mur, j’attendis encore un instant…

Invité

Le soleil brillait de son plein, comme chaque jour en ces lieux désertiques, et il faisait vraiment bon et les enfants couraient dans tous les sens. Comme à chaque fois, Rose se leva, d'un pas déterminé et le sourie aux lèvres, elle savait ce qu'elle allait faire de sa journée. Comme toute journée, elle allait se laver, du moins avec les moyens dont elle disposait, allait sortir de chez elle pour faire quelques courses, allait en faire aussi pour le Père Cornello et allait ensuite marcher incessement dans les rues de Lior. Quoi de plus banal et de plus quotidien. En tout cas, elle ne s'en plaignait pas, après tout, elle avait toujours cet espoir du lendemain où elle apprendrait le retour de son bien aimé...Cain. Ca pouvait avoir l'air si futile et impossible, pourtant elle voulait y croire et ça peu importe l'avis des autres. Et puis de toute façon, ici, à Lior, tout le monde l'adorait, tout le monde ne jurait que par son sourire qui en enchante plus d'un, comme on dit. Souriante, elle se dirigea donc vers la porte, pour ensuite l'ouvrir et sortir de chez elle. Une fois un pas posé en dehors des limites de chez elle, elle souriait encore plus, et montrait déjà une image encore plus positive que les autres jours. Elle regarda alors autour d'elle, les sacs dans les bras, elle était fin prête à aller faire quelques courses et peut-être même encore parler un peu partout sur son chemin. Tout semblait être parfait en ce jour, ne se doutant qu'un inconnu venait d'arriver à Lior, mais quand bien même, tant qu'il n'était pas insultant ou méprisant envers les habitants de cette cité ou de leur chef suprême le Père Cornello tout allait bien ! Avançant donc dans ses petites et grandes rues toujours ensablée, notre jeune Rose passa devant, avant toute chose, un bar très connu et où il faisait toujours bon vivre. Là, elle fut saluer comme chaque jour, et de son côté, elle les salua d'un signe de la main et d'un sourire qui en disait long sur ses pensées. Elle aimait vraiment cette ambiance, et ne voulait en rien changer cela pour quoi que ce soit dans ce monde ! Elle voulait rester encore un moment près de ce bar, mais après tout, elle avait autre chose à faire sur le moment, et pourrait sans doute revenir ici-même plus tard. C'est pas comme si elle avait les journées remplies, et puis, passer un bon temps avec de telles personnes n'étaient que bien et bon pour son moral. Et être seul n'est jamais très bon, même si on aide tout le temps ! Alors, elle prendrait sûrement du bon temps dès qu'elle aurait été voir le Père Cornello.
Effaçant donc ces idées, elle continua d'avancer vers le centre, cette fois-ci, de Lior où se ruaient déjà un tas de passants insouciants. Mais pourquoi ? Elle n'en savait rien, mais comptait bien avoir le coeur net ! Avançant donc vers ce centre, elle ne faisait plus vraiment attention à ce qu'il se passait autour d'elle, non, bien trop occupée et attirée par cette foule. Etait-ce encore le Père Cornello et l'une de ses nouvelles oeuvres ? Ou était-ce un étranger bien trop voyant ? Elle n'en savait rien, et ne s'en faisait pas tellement que ça, après tout, elle le saurait au moment voulu. Elle le savait ! Continuant donc de marcher, non rapidement, elle s'approchait de plus en plus de cette assemblée, et pouvait donc déjà voir, évidemment pas dans les moindres détails, la présence de l'homme qu'elle admirait le plus...Cornello ! Alors c'était bien sa première idée. Il avait sans doute encore fait un nouvel exploit, et donc s'améliorait encore, de jour en jour, ce qui signifait qu'il allait sans doute plus vite rendre son tendre aimant. Elle ne pouvait qu'afficer un plus grand sourire que précédemment. En effet, à chaque nouvel exploit de l'homme, Rose pensait voir un espoir en plus en elle de retrouver de plus en plus vite son ancien fiancé et de pouvoir à nouveau lui dire combien elle l'aime...Même si elle ne se doutait de la supercherie qui se tramait dans la tête de cet homme avide de pouvoir et de puissance. Après tout, qui n'était pas aveuglé par de si belles paroles et promesses sortant d'un prêtre. Car, pour ces personnes, la religion est tout, c'est leur vie, leur but et leur droit chemin...Naïfs, c'est ce qu'on pourrait dire d'eux, mais eux ne pensaient pas du tout cela. Mais elle, elle ne pouvait s'imaginer croire autre chose que ces belles paroles, que ces beaux propos si harmonieux, et faisant renaître un petit espoir et une raison de vivre dans le coeur de notre chère civile. Tout ceci sonnait si bien pour elle, tout ceci semblait parfait et rien ne venait gâcher ou tromper ces propos, alors pourquoi douter ? Si ce n'est pour le trahir et corrompre cette structure et cette foi si belle aux yeux de tous habitants ici. De plus, tout cela, l'arrivé de ce Père aux paroles magiques et angéliques, amenait une fausse paix, un semblant de sérénité et donc le bien être de chacun...
Une fois arrivée à hauteur de cette grande place où était également l'église principale et juste devant là où se trouvait le Père Cornello, Rose resta en dehors de la foule et regarda avec admiration son grand sauveur. Prise d'une grande joie et d'une grande hâte, elle ne put se retenir, et parmis les cris de chacun, elle se mit elle aussi à dire ce qu'elle en pensait.

"Père Cornello, on croit en vous ! On ne doutera jamais de vous !"

Et d'une voix légèrement plus basse, elle se mit également à dire quelque chose de tout de suite plus personnel.

"Et grâce à vous je vais retrouver Cain, je le sais ! Je le sais et je le crois grâce à ma foi."

Invité

Tout étais si calme ici… Tout semblait si serein… Mon regard se leva en direction du haut de la bâtisse, alors que mes pensés essayaient de découvrir le pot au roses… Des oiseaux blancs traversèrent le ciel, avant qu’un nouveau remue ménage ne se fasse entendre… Je baissa immédiatement la tête, pour voir le père Cornelo au milieu d’une petite foule qui s’agrandissait au fur et à mesure… Il fallait que j’attrape l’occasion pour lui parler, pour essayer de l’avoir seul à seul et éclaircir le mystère u_u. Rapidement je me détacha de mon mur, et fila directement dans cette foule, essayant de me creuser un passage au milieu de tout ses fanatiques…
Cependant, un Bug système vint interférer dans mes plans… Les habitants se resserrèrent, mais faisant partir sur la droite, juste avant de m’expulser du groupe =_=… Sur trois pas je dût me retenir de tomber en sautillant sur le pied gauche, avant de réussir à me remettre sur le droit chemin. Décidément, cette ville est vraiment étrange, on pourrait presque la comparer à un pays miniature…
Enfin bref u_u. Pendant mon expulsion soudaine je put distinguer quelque mots, sortant de la foule, acclamant le prêtre, et l’encourageant à continuer… Dire que je pourrais aussi me faire passer pour un envoyé des cieux avec mon alchimie u_u… Une idée machiavélique me vint alors à l’esprit… Et si je me faisait passé pour un prêtre moi aussi ? Je suis certain que si Al était la, il serait contre moi, mais bon, qui ne tente rien n’a rien n’est-ce pas ? Et puis il fallait que je réfléchisse à un nom de dieu que je pourrait représenter… Hum… Leto aussi ? Pour ce fondre encore mieux dans le paysage ? Non, ça risquerait d’éveiller les soupçon u_u…
Je fit les cent pas pendant quelque seconde, avant de voir arrivé plus loin, une jeune fille, au cheveux rose et marron… Elle semblait heureuse de la présence du prêtre, et mêla ses cris à ceux des autres habitants, avant de parler plus bas. Je ne put entendre ce qu’elle disait de la où j’était, mais j’avais la douteuse impression que ce prêtre de pacotille, lâchait des promesses à tord et à travers =_=… Cette simple idée, me donna encore plus envi de faire cette mission d’infiltration…

Mon regard parcouru la place, observant les infrastructure, et repérant rapidement que le Dieu Leto était représenté par le soleil… Soleil, lune… non, la lune devait être l’enfer, mieux vaut pas essayer… Quoi que…
Un sourire sadique se posa sur mes lèvres, tandis que les idées passaient toujours plus nombreuse dans mon esprit. C’est ainsi que ce créa la déesse de la nuit, Iruka, la belle qui défend la paix des humbles citoyens, les protégeant et les rassurant par la douce lumière qu’elle étend la nuit… Je me tourna donc vers cette foule compacte avant de toussoter. Puisqu’il ne voulait pas me laisser passer, alors autant créer tout de suite l’attirance. Je joignis mes mains, avant de les poser sur le sol, et d’en extirper une canne en métal obscure… Le haut de la canne était décoré par une boule plus clair représentant la lune, alors que deux ailes semblaient vouloir l’envelopper. D’autre motif étaient gravé dans le métal, mais les décrire seraient trop long u_u…
Enfin, le bruit de la transmutation fit taire ce groupe de fanatique qui se tournèrent tous sur moi. Je prit un air sérieux et supra calme, avant de taper une fois sur le sol avec mon nouveau jouet. Un chemin s’ouvrit en face de moi, laissant apparaître Cornelo devant mon regard.
Lentement, je me mit à marcher, en direction du vieux, avant de prendre la parole.

- Bonjours humble serviteur du dieu Leto. Je suis un envoyé de la déesse Iruka, reine de la nuit…

J’aurais put me mettre à genoux devant Cornelo pour faire encore plus envoyé, mais… C’était plus haut que mes forces u_u. Moi, me mettre à genoux devant un charlatan, jamais u_u… Même si j’en joue un, mais la, c’est pour la bonne cause u_u.
Si Al me voyait faire ça… Haeum… je préfères ne pas savoir ce qu’il penserait vraiment de moi la u_u. D’ailleurs, je ne préférais même pas penser à ce que les gens pouvaient penser à ce moment précis, et la seule chose que j’espérait, été que ma déesse ne serait pas égal à Diable ^^’… Sinon, ma couverture vas mourir d’un seul coup, et … Je devrais jouer au espion et au commando secret pour arriver à mon but… Pauvre de moi u_u. Ma main tenait fermement le manche de ma canne inventé, prête à remuer l’objet pour se protéger au cas où. Mais mon calme apparent, ne laissait pas percevoir cette partie de moi…
Mon regard d’ambre fixait Cornelo, attendant une simple réaction de lui…

Père Cornello.

~début de l'enquête~(libre) Cornellogy0

Cornello fait sûrement partie de ces personnages bêtes et méchants créés dans l’unique but de mourir. Eh oui, il en faut des gens qui meurent x_x Mais ce cher Père montre aussi une des mauvaises exploitations de l’alchimie. En effet, Cornello a la fâcheuse manie de se faire passer pour un prophète, un envoyé du Dieu Leto. Ainsi il fait passer l’alchimie pour de la magie relevant du divin et réussit ainsi à se faire passer pour un Demi-dieu auprès des habitants naïfs et crédules de Lior.

C’était une de ces journées ensoleillées, une de ces matinées de marché. Le père Corné’ en profitait toujours pour faire ses « spectacles » comme il aimait si bien le dire. Ah impressionner les foules, … les habitants de Lior étaient vraiment des idiots finis … ou alors de simples personnes malheureuses. La personne qui représentait le mieux la « foule » était sans doute la petite rose. Cette jolie jeune fille croyait désespérément en Cornello. Elle pensait que ce dernier pouvait faire revenir son fiancé d’entre les morts. Ah la pauvre … S’il savait x_x Cornello était mégalomane … Il jouissait de son statut actuel. Lui, autrefois un simple alchimiste de pacotille, considéré dorénavant comme un demi-dieu. Huhu … Ce cher Père Cornello s’en frottait les mains. Il était tombé sur des abrutis finis, et il ne cessait de profiter du malheur de ses fidèles. Ah l’alchimie … Le père devait aussi avant tout remercier cette fameuse personne qui lui avait confié la bague. Mais pour le moment, mieux ne fallait-il pas penser à cela. Le père était au milieu de la foule. Il était sûr de lui, et arborait un sourire hypocrite. Cornello semblait triomphant. Il se prenait véritablement pour un demi-dieu x) Au milieu de la foule, le père exécutait diverses transmutations de bas étages : transformer l’eau en vin, de la roche en marbre … La foule l’acclamait. Il se sentait aimé, adoré, adulé, … Ahh l’amour *_* Eh Oui Cornello avait besoin d’amour … MOI J’AI BESOIN D’AMOUUR, DES BISOUX DES CALINS J’EN VEUX TOUS LES JOURS J’SUIS COMME CAAA … * lorie sort de ce corps * Eh Oui Cornello quand il était petit, c’était le petit intello de sa classe. Lunette, bretelle, boutons, cheveux gras, chemise à carreau, cartable lafuma … ( mais moi aussi j’avais un cartable lafuma quand j’étais petite -_-‘ ) Depuis Cornello n’a jamais reçu d’amour … Toujours rejeté des autres, le petit a mal tourné et est devenu mégalomane. ( tel Dexter … ) Bon stop les délires, je suis censé être un MJ !

Brefouille, Cornello amusa donc la foule. Il les éblouissait de par ses basiques transmutations jusqu’au moment où … un jeune étranger coupa subitement le spectacle. Après avoir fait une transmutation alchimique, il se présenta comme étant un envoyé de la déesse Iruka … Bon alors … comment réagir dans ces moments là ? Cornello commençait à légèrement palir. Il ne savait pas vraiment quoi dire. La foule était choqué … et Cornello commençait à stresser sérieusement ! Il bégailla comme un abruti puis il se reprit. Son visage crispé se décrispa, et il prit un air sûr de lui. Il se permit même de ricanner légèrement avant de dire à notre chère Edward :

« Iruka dis-tu noble étranger … »

Comme pour montrer sa toute puissance, Cornello leva sa main et transmuta sans même toucher le sol les quelques graviers à ses pieds, en or. Les habitants, se précipitèrent pour ramasser l’or subitement apparu, et Cornello semblait encore plus triomphant. Il voulait montrer sa puissance, il ne devait en aucun cas montrer le moindre signe de faiblesse devant les habitants. Sinon il perdrait toute crédibilité … Ce jeune étranger intéressa fortement Cornello. Il semblait faire de l’alchimie. Mais où était son cercle de transmutation ?

* Damned … A t-il lui aussi une autre pierre philosophale ? Veut-il s’emparer de la mienne ? ( Higlander façon Pierre Philosophale … SBAF ) *

Même si Cornello ne le montrait pas. Il était surpris, et se méfiait terriblement du jeune garçon. Certes, le père pouvait faire des prodiges, car il ne respectait pas la loi de l’échange équivalent mais ce garçon pouvait le mettre en difficulté. Il fallait trouver une parade … vite … vite … de toutes façons la population de Lior soutiendrait Cornello quoiqu’il en soit …

« Iruka t’accorde t-elle aussi autant de pouvoir que le Dieu Leto m’en confère ? … Je n’aime guère ton attitude étranger. Tu viens dans notre Belle Ville de Lior pour te moquer du Dieu Leto en personne ? Ta conduite est inqualifiable … Démon ! … »

Les mots sortaient tout seul de la bouche du prêtre, et à force le vieux ne savait plus vraiment trop quoi dire. Comment expliquer au peuple que cet étranger ait le même pouvoir que lui ? Le vieux bouc était coincé, mais il avait le soutient des habitants et la « pierre philosophale ». Cet étranger, seul, n’avait aucune chance.

* Qui est-il, pourquoi est-il là ? Quel est son but … Voudrait-il me démasquer publiquement ? A quoi cela lui servirait-il ? Huhu … s’il veut me détrôner pour avoir tous les habitants à ses pieds, il se mets un doigt dans l’œil. Lior m’appartient *

Invité

Le prêtre bégaya devant moi durant quelque secondes avant de ce reprendre, et de me répondre finalement… Tsss, les charlatans étaient tous prévisible sur ce niveau… Est-ce qu’il allait prendre l’occasion pour renforcer son pouvoir, et me laisser entrer chez lui pour parler en privé, ou… Allait-il jouer la carte du « dégage ce lieu est à moi ? »… Enfin, je ne laissa en rien apparaître sur mon visage, lorsqu’il ricana, restant d’un sérieux inébranlable… Du moins, pour l’instant. J’étais en mission d’infiltration, alors ne pas plier, et jouer son jeu jusqu’au bout…
Enfin, notre homme, leva la main et transmuta les pierres en or, sans même toucher le sol… Hum… J’en était sûre maintenant. Il ne respectait pas le principe de l’équivalence, et cette petite chose rouge brillante à sa bague… Serais-ce la pierre ? Il me la fallait… Je devais trouver le moyen de la récupérer quoi qu’il en soit. Mais pour le moment, il s’agissait plutôt d’une joute entre « charlatan »… D’ailleurs notre homme repris la parole… Des paroles qui ne me laissèrent pas de marbre… Moi Démon ?! Grrr, c’est plutôt lui dans le cas présent ><. Jouer avec les pensés des gens comme ça… C’était tout bonnement démoniaque.

Un sourire se posa sur mes lèvres devant les paroles du prêtre, alors que je fronçais les sourcils… Je tourna les dos au prêtre et tapa le sol avec ma canne, avant de lever le regard vers le ciel…

- Moi Démon ? Vous osez donc vous moquer d’un envoyé de la déesse, alors que je ne suis ici que pour vous rencontrer ? Je devrais prendre cette remarque comme une insulte en Iruka… Pourquoi ce rabaisser si bas pour une simple apparition… Hmmm…

Mon regard tomba sur les petits cailloux jonchant le sol… Puis mes pensés ce tournèrent rapidement vers le transmutation que j’avait faites, il y a longtemps de cela, lors de l’examen pour devenir Alchimiste d’état… Il y avait la tour, et le ballon… Les pétales sont d’origine végétal, je n’ai donc pas la possibilité d’en faire des pétales de fleur… Mais… Pour faire une fleur, il faut de l’énergie minéral… Peut-être qu’en faisant rapidement le processus de photosynthèse je pourrait faire cela… cella prendrait trop de temps… Je ne devrais pas faire non plus d’acte de menace, cela n’irais pas vraiment pour le moment… Non, il fallait juste que je reste calme, que je prouve que je ne suis pas ici pour faire quoi que se soit…

C’est à ce moment la, que je me souvint alors que je possédait quelque morceau de papier. Avec mon calepin… Je fouilla donc ma poche, retira le calepin (mon livret, je l’avais laissé à l’auberge pour ne pas le perdre) et y retira trois morceau de feuille… Je posa ma canne sur le sol, fit des feuilles des boulettes de papier, et écrasa le tout entre mes deux mains, afin de joindre mes mains par la même occasion. Le transmutation ce produisit immédiatement et quand je me retourna vers le père Cornello, je sépara lentement mes mains, laissant la brise qui soufflait sur la place, laisser les quelques pétales de rose que je venait de faire, s’envoler doucement…

- Ce n’est peut-être pas grand-chose, comparé à l’or que vous avez donné à vos fidèles, mais je ne suis pas ici pour leur faire adorer Iruka. Je ne souhaites qu’un petit entretient avec Vous, père…

Et voila, au moins j’avais mis sur la table ce que je souhaitais avoir pour le moment. Je n’avais nullement l’intention de dévoiler au monde ces atrocités, j’en ai strictement rien à faire… Il peut vouloir mettre la main sur le monde entier, détruire l’armée entière, tant qu’il me fichait la paix avec Al, dans ma petite campagne perdu, avec nos corps retrouvé… C’était mon seul souhait… Je voulait cette pierre, juste pour ça… En fin de compte c’était plutôt égoïste, mais j’en avait fait la promesse, et une promesse… ça se respecte jusqu’au bout, quoi qu’on en dise…

Invité

[Bon, il est temps de prendre l'histoire, même si je la prends en cours de route]

Tandis que Cornello, dans sa bure, et Ed, armé d'un baton métalique gravé ressemblant à un morceau d'Al, s'échangeait des civilités dans le lointain fracas, une silhouette métallique tentaient tant bien que mal de se fondre dans la masse des habitants de Lior. Se faisant donc une petite place parmis la foule, il écoutait les réactions que pouvait avoir les membres de cette petite communauté vis à vis de son frère, déjà en train d'essayer de remplir sa mission. Dans la foule, on pouvait sentir un énorme mouvement, et beaucoup de gens déjà commençaient à donner leur avis sur "l'envoyé" :

- Que vient-il faire ici d'abord ?
- Il est venu nous détruire ! On peut pas lui faire confiance !
- Pourquoi il aurait fait cela alors ?
- Mais, et si c'était une ruse ?
- En tout cas, c'est drôlement beau ce qu'il a fait !
- Chut, ne dis pas une chose pareille, sophie !
- Mais, maman !
- Moi, je dis qu'on ne peut pas lui faire confiance...
- Et si on lui accordait le bénéfice du doute ?
- Mais le grand prêtre lui même parle d'un démon !

Al écoutait tout de manière très attentive, portant d'ailleurs plus attention aux conversations qu'à sa démarche elle-même. Pour être très réaliste, il ne se rendait pas compte d'où il mettait les pieds, et comme il ne ressentait pas la douleur, ou l'irrégularité sur le sol, il lui était difficile d'estimer le terrain. Méditant sur ce qu'il allait arriver ensuite, il ne se rendit donc pas compte quand il écrasa le pied de la petite sophie en question... La gamine se mit à hurler de douleur - et oui, ça fait mal quand même une boite de conserve de deux metres de haut - et tout le monde se tourna vers Alphonse, faisant une sorte de cercle vide autour de lui. La gamine finit par se mettre à courir vers sa mère, laissant Al seul dans le "cercle d'observation"... Très vite les questions fusèrent vers lui :

- Hé ! T'es qui toi ? et pourquoi tu portes une telle armure ?
- Je... Enfin...
- Maman, le monsieur il m'a marché sur le pied !
- Excuse moi, je n'ai pas fait exprès je...

Et oui, l'enquête démarrait à peine, et pourtant, Al avait déjà gaffé... Quel préliminaire pénétrant mes amis...

- C'est pas vrai, faut toujours que tu me suives, même maintenant !
- Que veux-tu, nous sommes liéés à jamais par le mar... la narration...
- Ouais, ben t'approche pas trop près, toi !
- Entendu =^ ^=

*Au secours ! J'ai deux narrateurs fou à lier !>_<*

Père Cornello.

~début de l'enquête~(libre) Cornellogy0

Cornello arborait un sourire triomphant. La foule était en délire après qu’il ait transmuté ces vulgaires graviers en or. Il semblait être haut dessus de la masse, il semblait vraiment être divin. Bientôt il régnerait sur le monde grâce à la pierre philosophale, ou du moins ce qu’il croyait être la pierre. Cela n’était qu’une question de temps. Cependant ce jeune alchimiste pouvait compromettre ses plans. « Iruka » disait-il … Peut être que ce gamin était fou, ou bien il se moquait vraiment de lui. Il avoua, après avoir réalité une transmutation dans le but d’impressionner la foule, qu’il ne voulait qu’un entretient avec le père Cornello. Soit … Le prophète du dieu Leto était confiant. Armé de sa pierre, et soutenu par ses fidèles, rien ne pouvait lui arriver. Suite aux déclarations du jeune alchimiste, le père lui sourit. De son air le plus prétentieux, il répondit à Edward :

« Je suis flatté qu’un simple étranger ou envoyé d’Iruka, s’intéresse à un prophète tel que moi. Cependant je t’arrête ici tout de suite. Le dieu Leto m’a confié ses pouvoirs afin de rendre le monde meilleur. Si tu en doutes, tu peux demander confirmation à ces honnêtes citoyens. Je n’accepterais pas que tu renies le Dieu Leto. Or croire à cette « Iruka », est une insulte même au Dieu Leto ! »

Cornello entrait dans le jeu d’Edward. Il ne voulait pas éveiller les soupçons des citoyens. Le jeune alchimiste venait d’impressionner la foule … Cette dernière était sous le choc, presque stupéfaite. Cornello n’était pas le seul à faire des miracles ! u_u’ … Le prêtre perdait de sa crédibilité … il fallait qu’il se rattrape. Même si la transmutation d’Edward n’égalait pas celle du prophète, ce dernier devait toujours en mettre plein la vue à ses fidèles. Il leva une nouvelle fois sa main en l’air, puis sa bague se mit à briller. Une lueur rouge scintilla puis des statues du Dieu Leto se mirent à avancer sur la grand place. Le prophète fît mine d’entendre la voix du Dieu Leto. La foule était sous le charme, ils scandaient le nom de Cornello et chuchotaient entre eux : Ce type est un prophète … C’est encore un miracle … Il fait bouger les statues … Cornello faisait mine d’être en transe. Les statues représentant le Dieu Leto s’arrêtèrent de marcher. Puis soudain, Père Cornello s’exclama :

« Le Dieu Leto m’a parlé ! … Il est d’accord pour que tu puisses, étranger, séjourner dans notre belle Cité de Lior. Malgré ton attitude arrogante, les textes divins préconisent l’hospitalité. Il faut aider son prochain, et l’accueillir les bras ouverts. Ainsi je te propose de venir dans notre beau temple. Nous pouvons héberger les pèlerins là-bas. Nous pourrons nous entretenir tant que tu veux. »

Cornello acceptait donc l’invitation d’Edward. Après tout, il ne savait pas ce que lui voulait ce nain … peut être qu’il n’était là que par hasard … Il ne fallait pas stresser pour si peu. Le père verrait bien vite les intentions du jeune alchimiste. Ce qui était sûr c’était que Cornello ne laisserait pas Edward le décrédibiliser. Le père semblait être confiant. Rien ne pouvait l’atteindre tant qu’il possédait cette fameuse pierre philosophale. Serein, le père entouré de ses sbires, salua la foule. Il comptait rejoindre ses quartiers, cependant juste avant de partir, il sembla voir dans la masse de la foule une « armure ». Un homme qui porte une armure en plein désert … voilà quelque chose d’insensé. Ne l’ayant jamais vu auparavant, le prêtre reprit la parole, en s’adressant à Edward :

« C’est ton ami là-bas qui porte une armure ? »

Ca sentait l’entourloupe.

Invité

Je me demande encore, comment je fait pour ne pas lui écraser mon poing dans sa figure… Il fallait que je lui fasse cracher l’origine de son pouvoir sans qu’il ne se rende compte qui je suis vraiment… Je doute qu’un alchimiste d’état soit le bienvenue par ici, mais bon… Le charlatan prit son air des plus arrogant, et autant dire que j’en fit autant, pour lui répondre silencieusement, avant qu’il ne décide de prendre la parole… Ha… Maintenant je reniais Leto… Boarf, j’y croit même pas à tout ces trucs stupides. Les citoyens peuvent vraiment être naïf quand ils voient l’espoir d’un monde meilleur… Celui-ci serait tellement bien sans lui… Mais bon.

- Je n’ai jamais dis que je reniais le Dieu Leto mon cher ami.

Ba oui, n’était-il pas possible de croire à plusieurs dieux ? Et voila une nouvelle carte posé sur la table. La foule était stupéfaite par ce que je venais de faire, la foule passait en revu Cornello et moi-même, ce posant quelque question. Mais à leurs yeux, je n’étais qu’un simple envoyé de la déesse Iruka, la reine de la nuit, celle qui veille… *toussote* revenons à nos moutons u_u.
Enfin, je ne pensais pas qu’il allait aller jusque la… Il leva la main, utilisant une nouvelle fois sa bague, afin de faire bouger les statuts OO‘... Franchement, aller jusque la, c’est être au bord de la mégalomanie ! Mais ça, il me semble que je sais faire. Il suffit de bouger les particules, et donc la matière afin de faire croire à un mouvement, de la part de l’objet. Mais bon, je vais pas me lancer la dedans, sinon on en a encore pour une heure entière --’… Il fit un scénario à dormir debout, se croyant en transe, faisant croire qu’il entendait des voies, et tout ce qui va avec… Et ba… Soit il est fou, soit il s’y croit vraiment --’… Dans les deux cas, je le plains vraiment…
Il reprit la parole, annonçant que Leto avait accepté son invitation, et que je pourrais être hébergé ici tant que je le souhaite… La, je voulais juste la pierre, et après je me tire d’ici, la cité fait vraiment peur quand on voit comment ils sont tous pendus à lui… Et puis j’avais mon entretient, c’était le principal !

- Je vous remercie.

Mais comme-ci le destin voulait que je rate tout mes plans, le charlatan repéra Alphonse, qui avait du mal au milieu de tout ces gens… hey… Mais attendez, Al n’était pas sensé être resté à l’auberge ?! A ce moment précis, je me demandais ce que je pouvais faire pour rattraper le coup… je fini par me retourner pour aller rejoindre le temple, répondant tranquillement…

- C’est mon garde du corps, nous avons voyagé pendant longtemps vous savez, et les routes ne sont pas toujours très sûre… C’est lui qui a insister pour m’accompagner, afin d’être sûr que je puisse vous voir sans aucun problème.

Et voila la réponse. Je fit un rapide signe vers Al pour lui demander de venir rapidement.

Invité

Alors que tous les regards convergeaient vers notre boite de conserve favorite, le père Cornello et Ed tournèrent la tête en direction d'Alphonse, et le Full Metal Al... Nabot *sbraf* ... Chemist fit signe à son armure de frangin d'arriver sur le champ. Al s'accroupit alors devant la petite sophie, et lui dit :

- Vraiment désolé pour ton pied, j'espère que je ne t'ai pas fait trop mal. En tout cas, profite bien que tu es petite !

Malgré sa voix un peu robotique, on pouvait entendre qu'il riait, et qu'il aurait souris en disant cela, s'il n'avait pas été une armure de deux mètres animés par un esprit reliés à l'armure par une simple et fine marque de sang à l'intérieur du plastron. Se relevant, il se mit à courir vers son frère...

- Maman, le monsieur dans l'armure, il est gentil, je crois...
- Oui, on l'a peut-être mal jugé...

Alphonse réfléchissait... Il avait été ainsi lui, auparavant ? Il n'en avait pas vraiment le souvenir, tout était confus dans sa tête... Comme si le voile de brume de l'oubli avait déposé son terne manteau sur la vie antérieur du jeune garçonnet...

- C'est beau ce que tu dis...

Oui, merci... Mais retourne donc te coucher toi ! Donc, Alphonse était maintenant à porté de son frère, et le héla de la sorte :

- Qu'il y a t'il, frangin ?

Malheur, si seulement il avait su ce qu'il venait de dire...

[désolé, post trop court -_-]

Père Cornello.

~début de l'enquête~(libre) Cornellogy0

Le père Cornello semblait être confiant. Il souriait à la foule qui l’acclamait, et il fît un signe de la main à ses fidèles, comme pour les remercier. Le prophète regardait Edward de haut. Il ne savait pas ce que ce gringalet mijotait, mais ça ne sentait rien de bon. Cornello était prêt à éliminer le Full Metal si celui-ci s’amusait à contrecarrer ses plans. Bientôt grâce à sa bague et à cette fausse religion, le père Cornello allait conquérir tout Amestris … Du moins c’est ce qu’il espérait. Il faut dire aussi que cette bague, est d’une puissance phénoménale. Elle permettait de ne pas respecter pas la règle de l’échange équivalent. Et ainsi grâce à cela, tout devenait possible. Faire des miracles était devenu un jeu d’enfant pour le prophète. Grâce à cela, il manipulait la population de Lior … il leur faisait miroiter le bonheur …

Le père n’avait plus rien à ajouter. Il alla donc se retirer dans ses quartiers laissant les deux étrangers s’installaient dans le Temple. Il quitta la scène en saluant une dernière fois son public : le peuple de Lior, puis en descendant, il passa près du Full Metal. Il lui chuchota :

« Suis-moi, avec ton frère, je vais vous montrer vos quartiers. »

A peine sa phrase finie, Le père Cornello fît un clin d’œil à l’un de ses sbires, puis il se dirigea vers le Temple en marchant lentement. Edward et son garde du corps le suivaient au pas. Le prophète était quant à lui entouré de quatre de ses sbires, tous armés. Confiant, le prêtre marchait sereinement. La foule était loin derrière eux maintenant, les habitants avaient repris leur activité normale. Edward, ou du moins l’envoyé d’Iruka allait sûrement profiter de ce moment pour bombarder le prêtre de questtion. Cornello ne savait pas trop ce qu’il voulait au final … La Pierre ? La Ville ? Ou tout simplement de l’hospitalité … Cornello n’osa pas poser de question pour le moment … Il se contentait de marcher lentement en direction du temple.

Il était midi, et il faisait vraiment très chaud en cette saison. Le soleil tapait sur la tête des habitants, et tout le monde transpirait. Lior était une ville pauvre avant que le père n’arrive ici. Il n’y avait rien dans cette cité, … l’eau était rare, et par conséquent la nourriture aussi. Cependant depuis l’arrivée de Cornello, tout allait mieux … Des oasis « poussaient » de partout, la roche était transformée en or, l’eau en vin … Les habitants retrouvaient le sourire, ils étaient heureux … Mais cela n’était peut être que de courte durée. Dante en avait prévu autrement …

Invité

L’armure s’approcha donc, et lâcha la chose qu’il ne fallait pas dire… Mais je garda un sérieux inébranlable, faisant mine de rien. J’avais dit garde du corps, mais n’avait jamais précisé si c’était de ma famille ou non :3. Cornello, quant à lui, releva bien évidemment cette phrase, et partie vers le bâtiment, nous invitant à le suivre. Cependant, la façon dont il me le dit, me mis sur mes gardes. Mon automail, tenait ma canne, et donc la méfiance ne se fit en rien sentir… On ne put donc pas remarquer un mouvement des doigts pour mieux tenir mon arme potentiel…
Enfin, maintenant que j’étais en présence du père Cornello, et que les villageois ne se doutaient pas de ce qui se tramait, je pouvais discuter avec mon « camarade » en toute liberté. Deux pas rapide, me permit de me mettre au niveau du père Cornello et de lui murmurer, de façon à ce que seul lui puisse l’entendre…

- Je ne souhaite en rien vous briser, mais juste discuter de la façon dont vous briser le principe de l’équivalence…

Après avoir dit ce que je voulais dire, je me remit à hauteur de mon frère, avec un léger sourire. Peut-être qu’a présent, je pourrait rendre le corps de mon frère ? Peut-être que d’ici peu de temps, il nous sera possible, d’arrêter nos voyages, et de reprendre une paisible vie dans notre petite campagne, avec Pinako et Winry… Je me demandais déjà comment réagirais Winry… Nous voir à présent dans nos corps d’origines, ne plus se soucier de nous lorsque nous sommes loin de tout… J’espérais que le prêtre ne soit pas assez fou pour se retourner contre nous. La pierre est précieuse, je l’avoue, et… Il risquerait de pas vraiment vouloir nous la filer… En faites… Boarf ! Après il fera ce qu’il veut… Il a su la faire, il pourra la refaire u_u.

D’un pas calme, nous sommes rentré dans le grand bâtiment, avec les sbires de Cornello. La salle était immense, laissant voir dans le fond, une énorme statut de Leto, assis sur une espèce de trône, et tenant une canne représentant le soleil… Et cette vision ne me laissa pas indifférent… Si le prêtre résistait, je pouvais aisément briser le voile de son pouvoir avec ça… Les gens verraient une énorme statut remuer, sous mon influence, et non sous celle de Cornello… Avec ça, je pourrais leur expliquer ce qu’est l’alchimie et… Les verraient tous briser. La vie est vraiment trop compliqué… Finalement je le ferais si c’est un cas d’extrême urgence.
Je me tourna finalement pour voir l’architecture de la pièce, mais ne fit pas attention au faites que mon manteau remuer de tel sorte, que la chaîne de ma montre fut visible au regard durant quelques secondes. Peut-être est-ce vraiment la, l’erreur qui tomba…

Invité

[désolée de me pointer aussi tard]

Le voyage avait été d'un désagréable et encore: elle pesait ses pensées... Elle était partie du manoir en marchant ce qui l'avait mise de mauvaise humeur: c'était fatiguant, as qu'elle ressente à la fatigue, mais c'était gênant de sentir le soleil sur sa peau si blanche et délicate. Après elle avait pris le train, elle pensait avoir droit à des moments de tranquilité, queneni: des enfants n'avaient pas arrêtés de hurler durant tout le trajet, et des humains curieux lui posaient des questions... bien sûr, elle n'y avait pas répondu feignant d'être muette.
A la fin de ceci, elle avait bien sûr créer un véritable carnage en guise de compensation pour le dérangement. Elle avait fait les choses proprement, car une jeune fille bien élevé faisait toujours attention à sa tenu et se devait de ne pas salir ses adorables toilettes.

Le comble du malheur était tout de même qu'elle n'avait pas pu déguster un bon vin, elle se doutait bien qu'elle ne saurait pas tomber sur un grand crue... mais elle avait espérer un peu... il fallait prier pour que le prêtre de Lior, son était Cornello, la reçoise correctement.

Elle était finalement parvenue à Lior. Elle devait aborder Cornello de façon discrète, donc elle avait changement d'apparence: il était vrai que des yeux et cheveux mauve-bleu étaient peu courrant, quand à ses vêtements: n'en parlons pas. Elle avait donc troquer ses habits habituels habituelle pour des plus banal: elle portait une robe bleu ui arrivant jusqu'en dessous des genoux. Pour cacher ses cheveux, elle les avait attaché en chignon et avait mis à chapeau au dessus.

Quand elle sortit de sa petite ruelle, elle remarqua une foule d'humain. Mia sil y avait aussi quelque chose de spécial: une armure. Armure? Boîte de conserve? C'était donc Alphone Elric cet chose? Un peu plus loin près d'un viellard se tenait un petit adolescent blond... ça devait être lui, le fullmetal nabot dont parlait Envy. Ces sobriquets leurs allaient à merveille.

Elle s'approcha, les gens parlait d'un envoyé de la déesse Iruka qui provoquait des problèmes par rapport au Dieu Leto. Ah, il posait déjà des problèmes! Provoquer une guerre cive ici, ne serait pas un problème... mais ce n'était pas sa mission. Dailleur, à qui avait-elle été attribué?

- Père Cornello!

Elle n'était plus qu'a quelques mètre du père Cornello. Il portait la bague que Dante lui avait généreusement "offerte". Parfait... Il lui fallait juste trouver un prétexte pour l'éloigner du monde et surtout du nain.

- J'ai des offrandes pour notre Dieu! Ma mère m'a demandé de vous remettre un cadeau de la part d'un des malades dont s'occupe mon père et qui est en voie de guérison grâce à vous. Auriez vous du temps à m'accorder?

Elle montra un panier comme si quelque chose s'y trouvait... il était fermé bien entendu. Et elle les suivit en direction du temple. Elle tira la manche du prêtre comme si elle allait lui dire un secret, elle dit en chuchotant:

- Je suis envoyé par Dante. Nous devons parler au plus vite, surtout à propos de ces deux-là.

Quelques temps plus tard, l'alchimiste se trahit lui même, sa montre à porté de vue de tous, mais Lumière décida de ne rien dire... personne ne semblait avoir remarqué. En plus elle devait s'entretenir avec le prêtre.

- Père Cornello... pourriez vous m'accorder un entretient privé. J'aimerais avoir plus d'informations sur notre Dieu et mes parents n'ont pas le temps de m'en parler.

Tout était mensonge, mais pour maniper ses marionettes, elle devait aussi un peu mentir.

Père Cornello.

~début de l'enquête~(libre) Cornellogy0

Le père suivi des deux frères s’en alla donc vers le grand bâtiment, le fameux temple. Une fois à l’intérieur, Cornello leur présenta et leur montra quelques statues de Leto ou quelques reliques se situant à l’entrée. Le père entouré de ses sbires, semblait confiant. Il était serein car il avait le soutient du peuple, et il était armé de la fameuse pierre philosophale. Que pouvait-il donc lui arriver ? Le jeune alchimiste dévoila ses intentions plus vite que prévu … Faire tomber Père Cornello ? Il en avait du culot ce gamin de se montrer si arrogant x_x Alors ainsi, ce jeune alchimiste ne serait venu que par simple « curiosité scientifique » ? Comme c’est étrange … Alors il croyait qu’en demandant gentiment à Père Cornello d’où il tirait son pouvoir, ce dernier le lui dirait sans rechigné ? Aahh … la jeunesse … Quelle naïveté … Ce gamin, n’était donc pas là simplement par hasard, il voulait savoir comment briser l’équivalence.

* Mmhh … il faut que je gagne du temps. Ce gamin est trop curieux, trop intelligent … Il me soupçonne d’ores et déjà de manipuler la population de Lior …Ce morveux ne doit pas me gêner dans mes plans ! Il faut que j’attende le moment propice pour envoyer les gardes le tuer. Je trouvais un bon prétexte … *

Puis alors que le père était plongé dans ses pensées, le jeune alchimiste se trahit alors tout seul. Il laissa entrevoir, involontairement sa « montre » d’alchimiste d’état.

* Hum hum … Un alchimiste d’état ? L’armée s’intéresse donc à la Pierre ? Ils vont essayé sûrement de me la voler … Damned … Je suis dans la merde … Il faut que cette « Lust » me vienne en aide. Lorsque je suis perdu, il n’y que ce « démon » qui réussit à me guider. Il faut qu’elle apparaisse … *

En effet Cornello n’avait pas trouvé cette pierre rouge qu’il prenait pour la Pierre Philosophale dans un marché … En réalité, c’était la délicieuse Lust qui le lui avait refilé. L’homonculus de la Luxure devait conduire le maximum d’alchimistes sur la piste de la pierre. Cornello faisait indéniablement partie de la liste. Mais ce crétin n’aurait jamais pu fabriquer la vraie pierre. Ainsi, il avait désormais une autre utilité dans le plan de Dante. Sa ville deviendrait bientôt le prochain théâtre d’affrontement spectaculaire. La population de Lior servirait bientôt à alimenter la prochaine Pierre Philosophale. Ainsi, le règne de Cornello, allait bientôt prendre fin. Sa chute serait l’événement déclencheur des hostilité entre Armée et Population. Dante avait élaboré minutieusement tout un véritable plan d’action et les frères Elric tout comme le prêtre étaient loin d’imaginer un tel futur.

Puis soudain alors que le Père était pensif, une petite fille vînt le ramener à la réalité. Cette jeune fille, Cornello ne l’avait jamais vu. Il connaissait tous les habitants de Lior, ainsi il fût surpris de la voir au premier abord. Son accoutrement bleu la rendait plutôt mignonne, Le père en, était sûr maintenant : il ne l’avait jamais vu. Cependant malgré cela, il l’écouta attentivement. Est-ce que elle aussi, elle faisait partie de l’armée ? Etait-elle là pour aider les deux frères dans leur tâche ? Le père lui sourit hypocritement. Malgré tout ce qui se passait en ce moment, il fallait qu’il conserve cette image de prêtre paternaliste et bienveillant. Il l’écoutait donc parler attentivement. Elle parla d’offrande, de miracle. A quoi jouait t-elle ? Cornello était persuadé de ne jamais l’avoir vu … Hum … Surpris, la père était décidé à ne pas montrer son étonement devant les deux frères. Il remercia naturellement la jeune fille et continua la visite du Temple avec Edward et Alphonse. Soudain, alors qu’il marcha, la jeune fille lui chuchota à l’oreille quelque chose de surprenant. Une envoyé de Dante ? … ce mot … ce nom … Cornello l’avait déjà entendu quelque part. Ah oui, Dante … c’était le maître de ce démon appelé Lust. Cornello ne savait rien d’elle, et encore moins de ce fameux Dante. Il avait entendu ce nom lors d’une conversation entre Gluttony et Lust. Dante … cette petite fille chétive faisait-elle aussi partie de cette bande alors ? Elle tombait à pic alors. Cornello ne savait plus trop comment agir … Seuls ces démons pourraient l’aider. Voyant cette jeune fille comme un allié précieux dans sa quête, Cornello se remit à sourire. Il reprit confiance en l’avenir. Protégé par ces démons, même l’armée ne pourrait rien contre lui. Parler de ces deux là ? Vraiment tout semblait tomber à pic. C’était l’occasion parfaite pour abandonner les deux militaires. Le père sourit, puis il reprit la parole :

« Oui mon enfant. Tu sais bien que je suis prêt à sacrifier de mon temps pour aider ceux qui le méritent, ceux qui suivent les textes sacrés. Tu es une fille qui a du mérite, tes parents peuvent être fiers de toi. S’intéresser à Leto dès ton âge ne peut être que bénéfique pour ta vie de demain. »

Après ses paroles ô combien hypocrites, le père se retourna vers les frères Elric. Il avait saisi la parfaite occasion de les abandonner … Leur dîner serait certainement leur dernier dîner. Cornello avait une petite idée pour se débarasser de ces fouinards de militaire. Du cyanure dans leur gamelle ferait l’affaire.

« Bien. Notre visite s’arrête là. Je n’ai pas le temps de tout t’expliquer aujourd’hui jeune alchimiste. Je serais dans la salle des prières ce soir à partir de 22h, juste après la dernière prière. Rejoint-moi là-bas et je te dirais tout ce que tu veux savoir sur … tu sais quoi. »

Le plan de Cornello était finement bien élaboré. Edward serait mort d’ici 22h … Oui, mort empoisoné. Il se retourna cette fois-ci vers Lumière, qui lui chuchota à l’oreille :

« Bien jeune fille, tu vas donc m’éclairer. Suis-moi dans les sous-sols du temple. Nous pourrons parler là-bas à notre aise. »

Le père juste avant de définitivement disparaître, chuchota à l’oreille de l’un de ses sbires … quelque chose de louche se tramait … les militaires allaient s’en rendre compte mais tant pis … Ils allaient bientôt définitivement disparaître.

[

Topic avec Lumière. ( je te laisse le créer )
Je vous laisse entre frère u_u, on se rejoint bientôt de toute façon ! ]

Invité

- Je t'ai dit que c'est à moi de poster !!
- Non, c'est à moi !
- Bon, dégage ! *arme un lance-roquette et tire sur l'autre narrateur*
- JE REVIENDRAIIIIiiiii...

C'est ça, c'est ça... Désolé de ce contretemps fâcheux, qui pourrait expliquer tout le temps que Myja a mit à répondre, si seulement celui-ci n'avait pas deux ou trois concerts à faire... Enfin, on va pas étaler la vie privée du joueur, et on va aller sans transition voir notre boite de conserve préférée, j'ai nommé Alphonse Elric !

*on entend des applaudissements enregistrés*

... Bon, c'est pas grave, allons y ! Le jeune Alphonse avait donc suivit son frère ainsi que le père Cornello à l'intérieur du temple. La boite de conserve géante observait sans vraiment prendre partie de la conversation. Le temple était vraiment immense, et d'une architecture pourtant très fine. On pouvait passer des heures, rien qu'à regarder chaque recoins de la zone. Chaque colonne, chaque sculpture, chaque fresque murale, tout semblait refléter un niveau très élevé de perfection, comme la sublimation de l'art au service de la religion pour en mettre plein la vue au premier païen qui entrait dans ce temple. Aucun doute possible : Le culte du dieu Leto était d'une importance capitale dans cette petite ville désertique qu'était Lior. Alphonse s'attarda plutôt sur le père Cornello, et remarqua, en plus de son embonpoint notable, et pourtant pas énorme, la magnifique bague en or ornée d'une pierre rouge sang qu'il portait à son index. Alphonse aurait froncé les sourcils, s'il en avait : Il était presque sur que cette bague avait brillé à chaque fois que l'ecclésiastique avait réalisé une transmutation sans cercle et en bafouant toutes les règles de l'échange équivalent. Peut-être était-ce vraiment le dieu Leto qui lui insufflait ses pouvoirs au travers de cette bague qui sait ? Mais Alphonse refusait de penser qu'il s'agissait réellement de la réponse.

C'est alors qu'une silhouette bleutée s'approcha du groupe. Une jeune fille à la peau de porcelaine, semblant très jeune, et portant une robe bleu et un chapeau s'approcha du petit groupe de trois. Ses yeux d'un bleu très clair dévisageaient les frères Elric, et Alphonse détourna un moment le casque, un peu gêné... Dans un moment comme celui-là, il ne savait s'il devait détester être en boite parce que ça l'empêchait de se montrer tel qu'il était, ou alors être content d'être dans cette armure puisque celle-ci l'empêchait de rougir, et donc de trahir ses émotions. Vous l'avez tous deviner : Alphonse la trouve jolie ! Et oui notre boite de conserve préférée réussit toujours à avoir le béguin pour les personnes du camp opposé, ça ressemble fortement à un syndrome de Stockholm à prise rapide... Enfin bref, laissons les états d'âmes du pauvre Alphonse et concentrons nous sur la suite des événements : La fille en question vint parler au père Cornello dans son oreille, et juste après, le visage du prêtre s'illumina d'un réel sourire. L'instant suivant ce sourire, ce dernier s'éclipsa, bredouillant des excuses à propos de son culte. Soit c'était un saint homme, soit il mijotait quelque chose. Alors que Myja avait déjà en tête la seconde idée, c'était la première que le petit Alphonse avait conservé ! Se tournant vers son frère, il essaya de comprendre finalement...

- Dis, grand frère, cette bague... C'est bien ce que je pense ?

Invité

La salle était vraiment immense, présentant des sculptures de toute sorte. En faites, il y en avait vraiment de tout les goûts la dedans. Mon regard se tourna finalement vers cette gamine qui venait d’apparaître, venu demandé un entretient pour lui parler de Leto… Elle paraissait heureuse, au même titre que les gens de l’extérieur… Finalement, ce qu’il faisait était-il bien ? Je soupira en les regardant partir, alors que le sourire que le prêtre avait attrapé ne me disait rien de bon.
Bref, lorsqu’il eu quitté la salle, je regarda ma canne durant quelque seconde, me disant que finalement, elle me servait à rien. Enfin, il fallait revenir ici pour 22h ce soir, et j’y serais. Je n’avais pas l’intention de lâcher l’affaire depuis que cette bague m’avait fait douté… J’en étais presque sûr, il s’agissait de la pierre, et si mon raisonnement était vrais, on allait bientôt arrivé à destination. Un sourire léger se déposa sur mes lèvres, alors que je m’étais un genoux à terre, joignais mes mains afin de faire disparaître la canne dans le sol. Lorsque je me releva finalement, Al se tourna vers moi, et posa la question. Toujours avec un léger sourire je posa mon regard d’ambre sur mon frère, et répondit avec un calme certain…

- j’en suis sûr… Sa réaction ne fait qu’affirmé mes pensés…

Et surtout, j’allais enfin pouvoir rendre le corps de mon frère, c’était le plus important. Et au moins, lorsque ce sera fait, je n’aurais plus à me mettre à genoux devant Mustang ><… De bonne humeur je me mit à marcher vers la sortie, et quitta l’endroit. Arrivé à la porte, je posa mon regard sur la ville, et observa un peu les alentours… Ce fut cependant à ce moment la, que je me rendit compte que les gens me regardaient bizarrement… A oui, c’est vrais que pour eux, je sais faire des miracles… Finalement je n’aurait peut-être pas dû faire ça… Quoi que … Si, au final, je n’aurais jamais sus approcher si je ne l’avais pas fait u_u.

- Bon et bien, nous avons la journée devant nous…

Le soleil était à son zénith, ce fut certainement le signal pour une certaine chose… A peine ma phrase terminé, que l’on pouvait entendre une espèce de grondement venu du plus profond de moi… Sur le coup, je fut assez surpris, laissant mon sourire disparaître. Heureusement qu’il n’y avait que mon frère…

- On peut toujours trouver un coin pour se reposer ^^’…

Oui je sais, c’étais pour manger, sinon je n’arriverais pas à le faire taire…

Enfin, la journée semblait bien commencer pour nous, et j’avais vraiment l’impression que tout se termineraient. Bien qu’au fond de moi, un doute persistait, un doute que j’ignorais bien, n’écoutant que mon rêve… peut-être que je ne devrais pas ? On verra bien le résultat…

[encore pas terrible --’ je dois être à sec]

Invité

La question, aussi étrange que cela puisse paraitre, n'était pas vraiment une véritable demande sur la nature de cette pierre. En effet, bien que le grand (par la taille) Alphonse Elric soit un très très grand naïf, il n'était pas pour autant idiot, et avait bien repéré que cette bague était très étrange. La question n'était qu'une confirmation de ce qu'il pensait. Et au vu de la moue que fit son frère, tout faisait penser que la prédiction d'Alphonse s'était révélé des plus exactes ! Cette pierre sur la bague... La pierre philosophale ! Il n'aurait pas mis longtemps, mais enfin, ils l'ont trouvé ! Maintenant, il suffisait de savoir si le père Cornello serait assez gentil pour leur permettre de leur emprunter cette pierre afin que les garçons puissent récupérer leurs corps sans problème ! Alphonse regarda alors autour de lui. La population semblait vraiment heureuse, et le dieu Leto semblait faire rayonner cette cité, pourtant éloigné de toute civilisation. Une oasis en plein désert, voilà à quoi ressemblait Lior. Et tout ceci avait été rendu possible grâce au Père Cornello. Pouvait-il alors refuser la requête de deux frères cherchant à redevenir eux-même ? En tout cas, ce n'était pas ce qu'Alphonse pensait de lui !

Les deux frères marchaient donc au hasard de la ville. Le soleil, visiblement puissant dans cette zone, avait en plus atteint son zenith. Une chance certaine pour la boite de conserve d'avoir un tel corps, puisqu'il ne ressentait pas la chaleur étouffant qu'il faisait. Ce n'était pas le cas de tout les gens autour de lui, qui le regardait comme si un fou passait devant eux. Dans un sens, ils n'avaient pas tord, mais il fallait se mettre à leur place : il faisait déjà une chaleur étouffante, alors coincé dans un armure... Il avait vraiment du courage, le protecteur de la déesse Iruka ! Du courage, ou alors pas de corps humain, et une âme coincé dans un sceau de sang ! Mais bon, il fallait être légèrement tordu pour pouvoir concevoir un tel scénario, bien que réel. Edward se tourna vers son frère et commença à parler... Mais il se fit arrêter en plein dans son élan par un léger bruit émanant de son ventre, indiquant que oui, on était en plein milieu de la journée, et que tout être humain normalement constitué se devait d'ingurgiter un repas sous peine de ne plus avoir de force. Cette phrase, étant vrai en temps normal, l'était d'autant plus dans le désert, où le repas devait être agrémenté d'eau pour ne pas finir comme ses cranes de buffles qui jonchent les dunes !

- Dis surtout qu'il faut qu'on trouve un endroit pour que tu manges...

Cette phrase, bien que moqueuse, était accompagnée d'un petit geste de la main, montrant une modeste bâtisse sur laquelle on pouvait voir l'insigne du couteau et de la fourchette croisés. Eh, Edward n'était pas un surhomme comme notre boite de conserve préférée, il fallait bien qu'il mange un peu ! Les deux enfants se dirigèrent vers le restaurant, afin de pouvoir, ben... Se restaurer pardi !

Invité

Alphonse répondit rapidement à ma petite phrase, ne faisant qu’appuyer sur ce que je pensais… Mais d’un geste de la main, il montra un petit coin où nous pourrions nous ravitailler un peu. Content de voir ça, je ne put que croiser les bras, tout en souriant légèrement. Autant ne pas sauter de joie pour un simple repas ^^. Rapidement, avec Al, nous nous dirigions jusqu’à l’intérieur de la bâtisse. De la, nous avions trouvé une petite place dans la bâtiment, mais… Les gens me regardaient d’un œil étrange… Arg, j’avais oublié, ils doivent certainement ne pas m’apprécier avec ce que j’avais sorti précédemment… Tant pis u_u. Du moment que je mange, et puis, savoir que la pierre était pas loin, était suffisant pour garder ma bonne humeur. On prit ma commande, et lorsqu’Al et moi-même nous retrouvions « seul », je profita de l’occasion pour discuter un peu de tout ça…

- Tu sais, j’ai comme l’impression que ce sera difficile de l’avoir… Il a beau être un prêtre qui rend cette ville heureuse, il n’en reste pas moins un imposteur… Sachant que ça puissance vient de cette pierre, pourquoi nous la prêtera-t-il sans rechigner ?

Autant dire que c’était une question pour moi-même, bien que je l’avais posé tout haut. Je m’accouda sur la table et coinça ma tête entre mes mains, tout en soupirant bruyamment.

Les gens c’étaient installé loin de nous, et ça, c’était tant mieux. Dehors, le soleil tapait durement, laissant le temps s’écouler lentement, laissant le temps nous rapprocher de plus en plus de ce moment fatidique, où nous serions confronté au père Cornello pour lui demander la pierre. Ce serait tellement bien qu’Al récupère son corps… Le malheureux devait désespérer de ne pouvoir manger, de ne pouvoir boire… Surtout en sachant que son âme pouvait être rejeté à tout moment… brrr cette idée même me répugnait. Mon regard d’ambre suivit les mouvements du serveurs qui me déposait mon repas. Il semblait coincé, et peut-être un peu apeuré ? La peur de vexer ma déesse ? Possible.

- Les gens d’ici sont trop facilement manipulable…

Tout en soupirant, j’attrapa ma fourchette et commença à manger, me demandant comment j’allais faire si jamais il y avait des problèmes. Dénoncer le père ? Se serait à la fois juste, et injuste… Ces gens semblaient tellement heureux, de vivre sous les promesses perpétuel du faux prêtre… mais avoir un espoir impossible ? Est-ce que cela est mieux ? Je bloqua un instant avant de regarder Al’…

- Est-ce que tu penses qu’il est mieux de vivre avec un espoir éphémère, ou de vivre en sachant la vérité ?

Sachant que l’un pouvait briser les âmes, et que l’autre, pouvait porter au désespoir, à la haine… Un immense dilemme s’offrait à nous… Mais je décida déjà de les laisser en paix, si le prêtre nous le permettait. Dire que l’on sait beaucoup plus de chose, que les habitants eux-mêmes… C’était assez paradoxal, n’est-ce pas ? Et peut-être qu’ils vivaient dans l’ignorance, parce qu’ils l’ont voulu ? Ils ont peut-être fermé les yeux devant les agissements du prêtre, pour pouvoir vivre dans un étrange espoir ?… Qui sait…

Les rues défilaient à une vitesse lente, très lente, aux yeux de Kurnous, qui recherchait, affamé, un restaurant ou même une étable où poser ses fesses pour manger. En effet, un énorme creux s'était formé dans son ventre au fur et à mesure que la matinée passait, et il était arrivé à l'heure du repas sans s'en rendre compte, si ce n'était pas le gargouillis continuel de son estomac... Quelle idée de venir s'enterrer dans un trou paumé comme celui-ci, aussi... Maudissant sa curiosité mal placée, l'alchimiste s'était donc mis en quête d'un endroit où manger. Malheureusement pour lui, la ville ne semblait pas en regorger, et cela faisait bien un quart d'heure qu'il déambulait ainsi, sans avoir mis la main sur ce qu'il recherchait.
La chaleur étouffante l'avait obligé à retirer sa cape, dissimulant ainsi son insigne d'alchimiste d'état qui y était cousu. Et après réflexion, c'était pas plus mal, car les habitants de Lior ne semblait pas être très amis avec les militaires et autres "chien-chien de l'armée", comme ils étaient appelés ici. Cacher ce symbole de la vue de tous lui évitait donc les regards hostiles de la population qui, malgré ses efforts pour ne pas y faire attention, agaçaient au plus haut point l'adolescent aux cheveux blancs.

Marchant ainsi, la cape sous les bras, les gants dans les poches, le Blue Alchemist réfléchissait une nouvelle fois aux raisons qui l'avaient poussé à venir rendre visite aux habitants de ce bourg. Malgré la faim qui lui tiraillait l'estomac, il parvint à s'en souvenir. Kurnous avait eu vent, il y a de cela quelques jours, alors qu'il venait à peine d'emménager dans son nouveau bureau à East City, d'un prêtre capable de réaliser les voeux de ses fidèles. Intéressé par cette nouvelle, il avait pris le premier train à destination et s'était retrouvé, comme un con, perdu en plein milieu de la ville, avec pour seule compagnie des villageois qui ne l'accueillaient pas gaiement. Génial... De plus, le Major n'avait fait aucune recherche préalable, et se retrouvait ainsi sans aucune information à disposition. De nouveau, Kurnous maudit sa curiosité déplacée et son amour pour les sciences et la théorie -notamment tout ce qui concernait l'alchimie. Quand soudain, ses yeux s'écarquillèrent de bonheur en voyant se profiler à quelques dizaines de mètres de là une pancarte qui indiquait la présence d'un restaurant. Et bah... La journée n'était peut-être pas totalement perdu... Pénétrant dans le grand bâtiment, l'alchimiste s'apprêta à commander une table, quand soudain, son regard se posa sur deux silhouettes. Des silhouettes plutôt reconnaissables de loin, puisque l'une d'entre elles n'était ni plus ni moins qu'une armure géante. Kurnous arrêta alors le serveur, tout en continuant à fixer les deux clients, faisant signe que finalement, il irait s'asseoir avec ces deux-là.

*C'est pas possible... Ce serait... Le fullmetal Alchemist et son frère? On dirait bien, ils correspondent parfaitement aux descriptions... Tiens donc, de telles personnalités dans un lieu comme ça? Curieux...*

Perdu dans ses pensées, le garçon s'approcha de la table où les deux alchimistes étaient assis. Indiquant une chaise, il leur adressa la parole, ainsi qu'un large sourire...

-Tiens... Le célèbre fullmetal alchemist et son frère... Dans une si petite bourgade. Quel événement amène les frères Elric dans un tel endroit? Je peux m'asseoir?

La question pouvait parraître un peu osée... Après tout, ils ne s'étaient jamais rencontrés par le passé, et Kurnous ne s'était même pas présenté, et pourtant, il leur demandait de partager leur table. Peut-être cette action était-elle culottée, d'autant qu'il n'avait rien sur lui, étant donné que son insigne était caché, et que les gants sur lesquels étaient tracés des cercles de transmutations étaient rangés dans sa poche, qui pouvait leur indiquer à qui ils avaient à faire. Et pourtant, l'alchimiste souriait, ses yeux bleus fixant les deux frères sans ciller. Ce n'était ni plus ni moins qu'un test, pour voir comment ils allaient réagir...

[Voilà, premier post, désolé pour la longueur, j'ai jamais été très doué pour les entames, ça s'agrandira au fur et à mesure...]

Invité

Toujours plongé dans mes pensés, j’attendais finalement une réponse qui ne vint jamais… Non qu’Al n’avait pas envi de répondre mais plutôt parce qu’un mouvement plus loin me fit sortir de mes pensés, et qu’a ce moment précis, j’avais perdu toute attention, et donc n’avait pas vraiment écouté. Pourquoi j’avais été si soudainement intéressé ? Et bien, tout simplement parce que ce mouvement allait vers nous. Chose peu probable depuis un certain moment de la journée où je me suis incrusté en tant messager d’Iruka… Cependant, le look de cette personne, ne ressemblait en rien à la population locale… Et ça, certainement dut à ses yeux bleu profond, sa chevelure couleur neige et cette étrange cicatrice à l’œil… Il semblait jeune mais… AU fur et à mesure qu’il approchait, il devenait… De plus en plus grand --’…
Enfin, il s’arrêta donc à notre niveau, et indiqua une chaise, tout souriant, avant de prendre la parole… Et lorsqu’il prit la parole, je ne put que rester estomaqué… Les yeux rond, surpris par le faites que cet inconnu connaisse mon identité… Si lui connaissait mon identité, cela voulait dire que les habitants d’ici connaissaient l’existence des alchimiste d’états ? Et donc si ils connaissaient leurs existence, cela voulait dire qu’il connaissait l’alchimie, et donc… ARG ! J’ai mal à la tête --’… Je jeta un regard rapide vers Al, afin de voir comment il réagissait, avant de regarder à nouveau l’inconnu… Et de prendre la parole avec un air plutôt sceptique… Comment vous réagiriez vous, si vous étiez découvert en pleine mission ?

- J’ai pas trop l’impression de te connaître… Et autant dire que c’est plutôt rare les gens qui connaissent ne serais-ce que l’existe de l’alchimie sans penser qu’il s’agit d’un miracle… Alors ce serait peut-être mieux que tu te présentes, avant de continuer cette conversation…

Oui je sais, pas très poli, mais lui non plus ne l’avait pas vraiment été… SI ? Bon bref, ce mec la, me disait rien de bon… Si un jour quelqu’un venez vous voir, en connaissant votre nom, votre statut, dans une petite ville paumé en plein désert, tout en vous demandant pourquoi vous êtes ici… Vous lui tendrez les bras en lui disant « Allez viens manger avec nous l’ami ! » ? Je pense pas non… A moins d’être complètement stupide --’… A moins que ce soit moi qui soit trop colérique… OUI j’avoue… Je râles un peu… Beaucoup… Tout le temps pratiquement en faites, mais c’est pas une raison non plus !

Le pauvre serveur ne savait plus vraiment quoi faire… Plus loin il observait le manège, en se demandant si je n’allait pas transformer l’inconnu en crapaud… Je suis pas non plus devenu sorcier, au dernière nouvelle >.>… Quoi je dévie de la conversation ? Mais c’est la conversation, je n’ai pas les cheveux crasseux, ni même une longue barbe grise ou noir, avec les yeux rouges, et une pustule sur le nez… Non, j’ai juste les yeux ambres, qui au passage fixaient intensément l’étranger, et les cheveux, long et blond. A priori, je n’avais rien d’un sorcier >.>…
Enfin, en le regardant ainsi, je ne put que constater que la personne en face de nous, avait le visage de quelqu’un qui avait de l’expérience dans la vie, malgré son aspect jeune… Ses yeux laissaient paraître un être mystérieux, mais pourtant le sourire qu’il adressait… Toujours en râlant, je fini par détourner le regard tout en soupirant bruyamment…

- Assis-toi donc…

Au dernière nouvelle, j’allais pas mourir parce qu’un inconnu s’installait à notre table…

Pendant un instant, Kurnous eut la satisfaction de voir, au fond des yeux du fullmetal alchemist, une lueur de surprise, voire même de stupeur, qui l'empêchait de réagir correctement. Parfait... En effet, il devait être particulièrement surpris de voir quelqu'un débarquer comme ça en connaissant son nom et son rang, alors que lui-même ne l'avait jamais vu. C'était le but... Puis, alors qu'il reprenait doucement ses esprits après un bref regard dans la direction de son frère, Edward Elric se mit à parler, sur un ton légèrement agacé, qui en devenait du coup presque impoli. Après tout, Kurnous ne pouvait pas s'attendre à une autre réaction que celle-ci, étant donné l'arrivée en fanfare qu'il lui avait imposée. C'est donc avec un petit sourire malicieux qu'il écouta ce que le célèbre alchimiste lui répondit. En l'observant de plus près, le Blue Alchemist remarqua que son interlocuteur était à peu près aussi vieux que lui, voire même plus jeune... Ses cheveux, blonds, lui tombaient dans le dos dans une coiffure bizarre, et ses yeux ambre le dévisageaient sans retenue. Cependant, ce n'était pas ça qui l'intéressait. Dans ses paroles, quelques choses provoqua l'attention particulière de Kurnous. Il avait prononcé le mot "miracle". Or, c'était précisément pour cela que le jeune garçon était venu se perdre à Lior, pour satisfaire sa curiosité naturelle, et personnelle, à propos d'un certain prêtre capable de miracles... Enfin, le fullmetal "l'invita" gentillement à s'asseoir à leur table, plutôt résigné par la présence de ce jeune perturbateur. Peut-être avait-il compris que de toute façon, ce dernier ne serait pas parti de si tôt, quand bien même il le lui aurait ordonné...

Toujours souriant, Kurnous fit un geste de remerciement de la tête, avant de reculer la chaise qu'il tenait déjà dans la main, sans avoir prononcé le moindre mot. Puis il se mit à son aise, ce qui permit, enfin, à Edward d'avoir des indices sur la personne à qui il avait à faire. En effet, l'alchimiste posa ses gants, dont l'extrémité des doigts était couvert de cercles de transmutation, sur la table. Certes, ces cercles n'étaient que très peu visibles, mais pour quelqu'un qui savait de quoi il s'agissait, ils étaient immanquables. De plus, lorsque le garçon aux yeux bleux posa sa grande cape noire sur une chaise vide à côté de lui, un observateur avisé pouvait voir sa médaille d'alchimiste d'état dépasser brièvement de sa poche, le temps d'un éclair. Kurnous ne sembla pas remarquer ses détails, ou plutôt, faisait exprès de ne pas les remarquer. Enfin, il releva son visage vers celui de son interlocuteur, faisant mine d'être surpris et de revenir à la conversation, d'un air de dire "ah oui c'est vrai..." Il prit une nouvelle fois la parole, d'une voix toujours légèrement moqueuse...

-C'est vrai, je ne me suis toujours pas présenté. Je me nomme Lindsay Kurnous, je travaille à East City, et j'habite dans le coin. Je vous remercie de me permettre de partager votre table et... D'ailleurs, Garçon! S'il vous plait!

Si si, Kurnous venait d'appeler le serveur qui passait dans le coin, coupant court à toute discussion. Cela pouvait passer comme une énorme marque d'impolitesse, mais c'était une nouvelle fois volontaire, un test pour vérifier des choses sur le fullmetal. Prenant son temps pour commander, le Blue Alchemist se tourna de nouveau vers Edward alors que le serveur quittait la table. Faisant mine de réfléchir, il reprit la parole, comme si ce qu'il cherchait venait de lui revenir.

-Donc, je disais, oui, vous parliez de gens considérant l'alchimie comme un miracle. Qu'est-ce qui vous fait penser cela? Personnellement, je suis un mordu d'alchimie. C'est d'ailleurs pour ça que je vous connais. Entre autres...

Après avoir bien insisté sur le mot "miracle" dans sa phrase, Kurnous laissa sa voix s'éteindre, comme s'il allait continuer à parler, mais n'en fit rien. Ces deux allusions douteuses risquaient de mettre les nerfs à vif du fullmetal alchemist, mais tant que celui-ci n'avait pas trouvé à qui il parlait, le Blue Alchemist continuerait ce petit jeu. D'ailleurs... Pouvait-il savoir à qui il parlait? Après tout, contrairement à lui, Kurnous n'était pas très très connu. Certes, beaucoup de gens, notamment à East City, avaient déjà entendu son nom, mais combien connaissaient son visage? Cela faisait deux ans à peine qu'il avait intégré cette ville. Cela suffisait-il pour avoir une renommée? C'était ce qu'il allait savoir d'ici peu de temps... Pour l'instant, il n'avait pas menti en se présentant. Tout ce qu'il avait dit était vrai. Certes incomplet la plupart du temps, mais vrai...

-Au fait... Vous ne m'avez toujours pas dit ce que vous faisiez ici?

Invité

Pfff, je vous jure, parfois je me demande si l’échange de l’équivalence ne joue pas un peu sur moi… Je trouvais une superbe information, et voila qu’un inconnu bizarre s’invitait à ma table --’… Et pour couronner le tout, un Al qui dit rien de rien… Mais bon… Alors que j’avalé une autre bouché de mon plat, l’inconnu s’installa, déposant ses gans et… Hien ? Un alchimiste ! À Lior ? Étonnant… C’était sûr maintenant, il n’était pas d’ici… A moins que l’autre imbécile de prêtre ai des alliers… Enfin, ces petits cercles n’était pas très remarquable pour des citoyen comme ceux de Lior, alors cela était parfaitement possible non ? Quoi j’ai des pensés Bizarre ?
Enfin, il retira sa veste pour la poser sur la chaise à coté. Durant un instant je cru apercevoir un scintillement d’argent, mais je n’y fit pas plus attention. Après tout, c’était peut-être moi qui rêvait… L’inconnu releva la tête sur moi, avec un air quelque peu surpris, avant de reprendre la parole, d’un ton qui ne me plaisait guère… Mais ce n’était qu’un détail, un détail que j’oublia rapidement, en écoutant sa présentation… Alors il s’appelait Lindsay Kurnous ? Mais ce qui me frappa le plus était le faites qu’il travaillait à East City… C’était peut-être pour ça qu’il me connaissait… Une connaissance de Mustang ? Arg, rien que de penser à lui, ça me fiche le cafard tiens… Il remercia par la suite, le faites qu’on lui laissa la liberté de s’installer à notre table, avant d’appeler le serveur… Et ba, il est gonflé tout de même… J’ai comme l’impression d’être testé face à lui --’… Je le laissa donc prendre commande tout en bouillonnant intérieurement… Il commençait réellement à m’énerver celui-la avec ces airs de « je suis le Dieu »… >.> Nan, vraiment, ça ne m’étonnerais pas qu’il soit ami avec Roy celui-la…

L’énergumène reprit la parole, me mettant à bout de nerf… Comment un mec pareil pouvait parler de miracle comme ça ? C’est logique ! Les miracles n’existe pas ! Tout comme les dieux et tout le tralala qui vas avec … Comment peu t-on à croire à des choses pareil d’ailleurs ?? Puis le Kurnous termina par une question qui me fit presque désespérer pour être franc… Je laissa un soupir s’échapper tout et m’accoudant sur la table, posant mon regard doré sur l’extérieur. Le soleil brillait, bien qu’il descendait dans ce ciel étrange de Lior, tandis que les habitants continuait de vivre, comme-ci le climat était doux et serein avec eux… De toute façon, cette pierre, je la lui rendrais après avoir rendu le corps d’Alphonse… Mais bon, ne nous attardons pas la dessus u_u.
Les sourcils froncé, et l’air peu amical, je répondit aussitôt à notre comique de service…

- C’est complètement stupide de parler de miracle, ce genre de chose n’existe pas… Mais ce n’est pas l’avis des gens d’ici, suffit juste de voir comment ils sont devant ce prêtre… Et puis, ce qu’on fait ici ne te regarde pas, alchimiste ou pas.

J’avais bien appuyé sur le Pas, laissant qu’une seule pensé possible pour l’autre… Je ne plierais pas. Quoi qu’il en soit, il n’avait pas à savoir ce que je fichais ici… En plus de se payer ma tête, il me provoquait >.>… Arg que je déteste ça !

Enfin, ce fut à ce moment la, que je me rendis finalement compte, que j’avais presque oublier le rendez-vous de Cornello ! Gasp ! Si je rate ça, je n’aurais plus d’autre occasion !!!! Il fallait que je me dépêche ! Je fouilla ma poche, retira le porte money, pour y enlever le montant de la consommation. Rapidement je les refila à Al, afin qu’il puisse payer tranquillement, tout en me levant et en attrapant ma veste…

- Je te laisse t’occuper de ça Al…

Il savait pertinemment pour quoi… Dans ma lancé, je me stoppa cependant, posant le regard sur Kurnous, toujours assis, avant de reprendre la parole…

- Il y a certaine chose que j’aimerais mettre au clair avec toi… Alors je peux t’assurer qu’on se reverra.

Sans attendre plus longtemps, je rangeais rapidement le porte money dans ma poche, avant de filer hors du lieu. Les enfants jouaient dehors, sans réellement faire attention à ce qui se passait autour d’eux, tandis que les passants me regardaient avec un air bizarre… Enfin, après ce que j’avais fais, c’est pas étonnant >.>… Bref, je retourna rapidement à l’auberge, préparant quelque truc, avant la lancé pour la vérité…

[Désolé de se départ rapide, mais bon, faut aussi faire avancer l’action… J’attendais AL pour le faire, mais comme il a des blêmes je vais débloquer Lior directement…. ^^’]

Tout se passait bien... Très bien même. Un frisson d'excitation parcouru l'échine dorsale de Kurnous au moment où celui-ci comprit qu'Edward n'en pouvait plus. Sa manière de parler, ses gestes, ses paroles, tout en lui devait agacer au plus haut point le Fullmetal, ce qui était parfaitement voulu. La réputation de ce prodige l'avait précédé. Et de loin. On parlait de lui comme d'une personne très intelligente, et d'un véritable génie en terme d'alchimie. L'adolescent aux cheveux blancs voulait juste s'amuser un peu, savoir si toutes ses louanges étaient méritées et, surtout, si ce "prodige" était plus intelligent que lui. Visiblement, le fait que Kurnous travaille à East City l'avait troublé, de même que les cercles de transmutation sur ses gants. Peut-être connaissait-il du monde dans cette partie du pays. En tout cas, ce bonhomme ne devait pas être si futé qu'on le disait... Il était carrément tombé dans le piège, pourtant grossier, tendu par Kurnous, et semblait au bord de la crise de nerfs. Parfait... Le soupir qu'il lâcha acheva de mettre de la bonne humeur dans le coeur du Blue Alchemist, qui du se retenir d'éclater de rire devant la mine déconfite de son interlocuteur. Son sérieux revint cependant au galop lorsque Edward se remit à parler. D'après lui, les miracles n'étaient que purs inventions, et visiblement, il ne croyait pas du tout en Dieu ou en autre chose du genre. Quoi de plus normal, pour un alchimiste? D'ailleurs, Kurnous était entièrement d'accord avec lui, aussi il approuva, sans vraiment y faire attention, d'un petit signe de la tête. La suite de ses mots, bien que moins agréables, furent pourtant bien plus important à l'esprit de l'alchimiste...

*Ainsi, il est là aussi pour ce foutu prêtre. Il a l'air de penser que cet homme n'est qu'un vulgaire imposteur, un menteur prêt à tout pour obtenir de la richesse. Intéressant... Cependant, je vois mal comment pourrait-il réaliser les voeux de ses fidèles, même en utilisant l'alchimie... A cause du principe d'équivalence... Il m'a donné des renseignements très pratiques, sans même s'en rendre compte...*

Soudain, le fullmetal sembla se souvenir d'une chose, qui paraissait d'ailleurs pressante au vue de la vitesse à laquelle l'alchimiste quitta la table. Lâchant quelques pièces à son frère pour qu'il paye, il se tourna une dernière fois vers Kurnous pour lui faire une promesse qui tira un sourire au Blue Alchemist. Ils allaient se revoir? Certainement... Puis il ramassa sa veste, rangea son porte-monnaie, et quitta le restaurant sans plus attendre. Terminant son assiette, Kurnous n'arrêtait pas de sourire. Dans un murmure, il souffla quelques mots, que même Alphonse n'avait probablement pas entendu.

-Compte là-dessus...

Puis, à son tour, l'alchimiste d'état se leva, et, déposant de quoi payer son assiette, il attrapa au vol sa cape noire, enfila ses gants et se tourna vers l'homme en armure. Toujours souriant, il lui adressa un signe de main avant de parler.

-Je suis heureux d'avoir pu rencontrer des types aussi connus que vous. Je pense que nous nous reverrons, de même que je pense que vous avez compris qui j'étais, à la différence de votre frère... Bon, sur ce, j'ai obtenu ce que je venais chercher. A une prochaine fois.

Sans ajouter un mot, il tourna les talons. Une fois dans la rue, il enfila sa cape, puis, soudain, il disparu. Littéralement. Il était devenu invisible. Si peu de passant l'avaient remarqué, Alphonse avait peut-être vu cet étrange phénomène. Toujours était-il que désormais, plus personne ne pouvait deviner où se trouvait le Blue Alchemist. Excepté lui-même, bien entendu...

» Absence depuis debut Mai , explication et excuse